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GOLDEN Φ CLUB

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MOULINS & Nombre d’Or

LE NOMBRE D’OR dans les MOULINS PORTUGAIS

Moulin type SESIMBRA – Moulins de MOLEDO

Etude des proportions

Qui dit moulins dit grains.

Autrefois les anciennes mesures étaient basées sur la largeur d’un grain d’orge, soit 0,2247 cm. Pour bâtir, on utilisait des unités plus grandes basées sur le corps humain – coudée, pied, empan, palme, paume, pouce, ayant leur correspondance agraire avec le grain d’orge. La coudée royale de 52,36 cm était la longueur de 233 grains d’orge posés côte à côte ; le pied de 32,36 cm, soit 12 pouces, correspondait à 144 grains. On partait donc d’une mesure stable offerte par la nature pour engendrer la géométrie du Nombre d’Or aux propriétés uniques.

Qui dit grains dit moulins

Un sympathique exercice de style.

Notre analyse débute avec le dessin d’un moulin portugais de type SESIMBRA, dû à M.Michel SUBRENAT-AUGER dont une photo sur le net avait attiré notre attention. A vue d’œil, il semblait proche de formes géométriques connues des tenants de l’Art du Trait, ou/et des proportions dorées chères aux peintres et sculpteurs de la Renaissance. L’idée était donc d’approfondir le sujet pour savoir si le nombre d’Or entrait dans la construction de ces moulins très esthétiques, car nombreuses furent les constructions rurales réalisées autrefois en Europe d’après les lois vitales de la Nature.

Enquête sur le terrain.

La planche couleur d’un moulin de type Sesimbra faite par Michel Subrenat-Auger sert de support à notre étude. Ce type de moulin aurait-il bénéficié d’un apport géométrique particulier dans sa construction, privilégiant la section dorée ? Peut-être, car cette proportion mythique est un primaire d’économie qui régit la création et le monde des bâtisseurs. On obtient ainsi un résultat optimal avec le moins d’énergie et de matière possible. Vauban l’utilisa sans restriction dans l’édification de ses innombrables forts pour ces raisons économiques (temps-argent-matière). 

Ce dessin est précis comme le souligne son auteur.  Tentons de le décomposer.

Ainsi,

L’élévation livre en coupe un carré abritant le mécanisme et un triangle, le toit rotatif posé sur la sablière de pierre, protégeant les engrenages et l’arbre de la voilure.

Détaillons la coupe carré, en rouge :

L’étude des proportions est réalisée au compas, avec :

  • En rouge, le volume intérieur du moulin
  • En pointillé bleu vertical, l’axe de rotation des meules
  • En trait blanc, la diagonale des 2 demi-carrés et leurs arcs respectifs en pointillé bleu également.
  • En vert, la base du blutoir (Ponte e Urreiro)

On distingue :

  • Le volume intérieur en coupe est carré. Ce n’est pas anodin car tout carré se décompose en rectangle d’or et inversement.
  • L’axe des meules divise le carré en deux rectangles égaux, verticalement.
  • Si nous considérons le ½ carré ainsi divisé, ses proportions sont de 1 sur 2 , soit l’octave; sa diagonale vaut √5 ; par définition ce demi carré génère des médiétés géométriques, arithmétiques et harmoniques, c’est-à-dire toute la batterie du nombre d’Or et en particulier celle du pentagone étoilé.
  • Autre coïncidence : le blutoir, pointé en 6 sur la photo, est exactement positionné à l’intersection des médiatrices des côtés du carré, soit à mi-hauteur et mi-largeur du volume intérieur.
  • Toujours dans le domaine du pur hasard, si nous rabattons la diagonale √5 (blanche) vers l’horizontale, en l’occurrence vers le sol, cette diagonale semble fixer la largeur de la base extérieure des murs. L’emprise au sol des murs serait donc sous √5. Ceci n’est pas sans rappeler les procédés similaires adoptés pour le tracé des cathédrales. Les murs correspondraient à une bordure dorée.
 

Enfin, la pente du toit ( coiffe) montre qu’elle est très proche des 51°, soit presque celle de la grande pyramide de Giseh et répond au tracé  √5 des esquisses. Hasard ou continuité ?

Il y a d’autres récurrences géométriques auxquelles nous ne nous attendions pas, mais nous n’avons pas voulu aller plus loin sans disposer de plans. Ces résultats sont déjà très encourageants.

Beaucoup de questions se bousculaient, la principale étant de savoir si la « Divine proportion » était bien utilisée dans la construction des moulins portugais de type Sesimbra en général, leur érection étant assez tardive (XVIII) ou si l’architecture du moulin-type représenté ici est une exception.

Monique MENELOT fut notre guide fin février 2020 ayant une bonne connaissance des moulins. Elle a écrit un livre en français et en portugais en collaboration avec Fernando Henriques ancien meunier et propriétaire du moulin que nous avons étudié. 

D’après les discussions avec le propriétaire M. Fernando HENRIQUES et l’équipe regroupée à cette occasion, comme Francesco JACINTO qui enseigne à Loures (proche Lisbonne) ce patrimoine vivant, il ressort que la construction d’un moulin est aussi une entreprise intuitive, basée sur une connaissance transmise oralement. Le Moulin s’adapte au terrain situé de préférence sur une zone de vents les plus réguliers possible. Sa taille dépend des besoins.

Petits ou grands, les moulins renvoient une image homothétique puisqu’ils répondent tous au même cahier des charges et sont souvent implantés proches les uns des autres.

C’est cette répétition de formes semblables qui crée l’harmonie telle que nous la voyons sur d’innombrables photos.

A l’écoute des descendants, actuels propriétaires (février 2020), le plan n’obéirait pas à des proportions géométriques particulières, comme celles utilisant la suite de Fibonacci par exemple. Pourtant, on constate que dans bien des cas, les proportions sont proches des formes générant le nombre d’Or, ses multiples ou sous-multiples. 

Les proportions des ouvertures, portes ou fenêtres, sont souvent les premières à parler. Prenons comme exemple, l’entrée du moulin de M. HENRIQUES

Notons que l’encadrement de pierre est réalisé à marges égales. 

Même avec la déformation de l’objectif photo, un gabarit nous donne un passage de porte dans un rapport très proche de 2,236 qui est un multiple du nombre d’Or. Coïncidence ? sans doute pas pour cet élément important comme la porte d’entrée.

Pour les dimensions plus générales, les villageois travaillaient à l’instinct, au coup d’œil. Ils ressentaient le bon équilibre, la bonne et belle dimension de la forme à adopter. Mais comment l’expliquer ? 

On sait que le corps humain est lui-même proportionné au nombre d’Or, comme les plantes ou les animaux. Notre coup d’œil dans l’évaluation de l’équilibre d’une forme est complètement influencé par la divine proportion chère à Lucas Paccioli ou Léonard de Vinci. 

Nous sommes des enfants de la Nature et la Nature, dans sa grande diversité, utilise le coefficient de croissance Phi = 1,618 et ses dérivés. L’esthétique du beau est celle du nombre d’Or, telle que notre organisme, agissant comme un prisme, nous la fait percevoir de manière inductive. 

Il est donc normal qu’instinctivement nous ayons « le sens de cette proportion ». C’est d’ailleurs le cas des plus grands musiciens dont les partitions sont entre 75 et plus de 90% rythmées sur la proportion dorée. L’instinct musical, l’instinct des formes architecturales accordées sur Phi est dans l’Homme. Les villageois portugais savaient appréhender en eux cet élément pour bâtir de beaux moulins.

Venait ensuite l’adaptation du beau à l’efficacité technique. 

Là encore, l’école du vivant nous apprend que rien n’est parfait. Il y a un modèle idéal, mathématique, et une adéquation au lieu. Il y a une théorie puis des variations qui optimisent. C’est la règle dans toutes les constructions utilisant Phi, que ce soit pour des réalisations humaines ou celles de la nature (coquillages, fleurs, arbres  etc.)

Il faut savoir que les moulins sont tous différents, par définition.

Il y a donc un compromis très intéressant mis en place afin de pouvoir travailler efficacement dans un lieu où l’on se sente bien, lieu vivant, gratifiant, valorisant, qui fait toujours la fierté de leur propriétaire.

Voilà ce que nous pouvons dire pour le moment, sous les réserves habituelles compte tenu  des documents dont nous disposions, mais nous n’en avons pas fini. Nous attendrons de disposer de mesures précises pour revenir vers les moulins portugais. Le plan du moulin type SESIMBRA publié est très proche de la réalité, le dessin est une base relativement exacte a tenu a préciser l’auteur.

Les Moulins de MOLEDO n’ont pas encore fait l’objet de plans, comme la plupart des moulins du Portugal ou d’ailleurs. C’est un gros travail de tout mesurer et de documenter avec précision. Nul doute que ce travail de mémoire s’étoffera au fil du temps pour le rayonnement et la préservation de ce patrimoine unique.

En quoi le nombre d’or est-il important ?

Cette proportion est présente dans l’univers, de l’insecte aux mouvements des planètes redécouverts par Kléper.  Les anciennes civilisations connaissaient déjà l’importance du nombre d’Or comme le témoignent leurs monuments. Construire au nombre d’Or, un objet ou un temple gigantesque, c’est se mettre au diapason du cosmos. La nature suit ces règles.

Quand on construit au nombre d’Or, on cherche à relier la Terre et l’Homme avec le Cosmos (Patrice MEYER), ce que les anciens appelaient « LA GRANDE CONSONANCE »

Le NOMBRE est l’ESPRIT de la création

La GEOMETRIE en est l’AME

L’ARCHITECTURE en est le CORPS

De nos jours, on ne construit plus au nombre d’Or, sauf pour des réalisations prestigieuses. Par chance il y a encore de nombreuses maisons, habitats ou lieux implantés suivant ce principe immuable.

Les heureux possesseurs d’un tel patrimoine vivent dans un endroit harmonisé comme une œuvre d’art, et il est bon de le savoir.

Les moulins portugais, construits d’instinct ou en connaissance rationnelle des canons de la PROPORTION DIVINE ( Lucas Paccioli) expriment cet équilibre.

A ce titre, ce sont des œuvres à préserver.

Références :

Le site du nombre d’Or :  maisonnombredor.fr

Michel SUBRENAT-AUGER, dessin d’un moulin type Sesimbra à une meule ; http://www.moulins-moinhos.msa-modelisme.eu/page12/page2/page2.html

plus le dessin du grand moulin de Beja à deux meules http://www.moulins-moinhos.msa-modelisme.eu/page12/page0/page14/page14.html

Au sujet de ce grand moulin à deux meules,  un livre a été conçu dessiné et photographié par Francisco Dias SOARES avec la collaboration de sa famille, propriétaire du Moinho Grande de Beja. Le livre n’est pas commercialisé, puisqu’il a été édité avec des fonds publics. Cependant il est disponible à la mairie de Béja.

Monique MENELOT, a écrit avec Fernando  HENRIQUES  un livre sur son moulin :

« Moledo : Un patrimoine à préserver : Histoire et technique du grand Moulin ». Le livre n’est pas édité, il le sera bientôt en version électronique. 

Monique MENELOT anime des ateliers d’écriture dans la capitale portugaise au sein de Lisbonne Accueil. Elle participe à l’animation du village et aide à la préservation de ce patrimoine précieux  que sont les moulins.

Le CONSERVATOIRE DU LIVRE cdl.dirpt@gmail.com

Notre organisme regroupe un réseau de compétences spécialisées sous l’angle nombre d’Or, que ce soit pour des projets industriels ou commerciaux, ou encore des ensembles architecturaux et artistiques.

Le CDL délivre des expertises Nombre d’Or : bâtiments et jardins, peintures, artefacts, propriétés, plans, citées anciennes ou modernes,  etc.

Le CDL construit des labyrinthes et des œuvres d’art uniques, au nombre d’Or.

MAISON R+2 en REGION PARISIENNE ETUDE PHI

Ce projet en région parisienne amène des suggestions qui devront se généraliser dans l’avenir, car en secteur urbain, l‘exposition électromagnétique est permanente.

  • Privilégier les courants faibles : plus la tension électrique est faible, moins vous créez de pollution électromagnétique dans votre habitat. Ceci oblige à repenser les besoins électriques en recherchant les accessoires de moindre consommation et de faible tension : éclairages à leds par exemple.
  • Utiliser des fils blindés pour les courants forts.
  • Eloigner les appareils à courant fort des lieux où l’on passe le plus de temps.

LES PLANS

NOTA : Il est toujours plus difficile de modifIer des plans existants – car il faut repenser le projet – que de démarrer Ab Initial. Néanmoins, dans les deux cas, la recherche de proportionnalité est la première étape :   nous partons des grandes proportions vers les petites. L’étude est réalisée au compas, à la règle.

En partant des dimensions extérieures:

  • La maison est trop longue pour rester dans le rapport Phi 1,618
  • La maison n’est pas assez large pour générer un rectangle d’or
  • La maison est trop courte pour être dans le rapport 3×1/phi

Dans les trois cas l’écart est faible, donc  – sous réserve des conditions locales d’urbanisme –  il y a peu à modifier pour entrer de plein pied dans la proportion dorée.

Pour obtenir simplement un rectangle d’Or, nous suggérons :

  • Cas N°1, soit de raccourcir légèrement la longueur, ce qui diminuera la surface.
  • Cas N°2, soit d’élargir légèrement le bâti. Nous préférerions élargir le bâti car ici l’agrandissement est très faible, moins d’une épaisseur de mur.

On voit que dans les deux cas, la forme extérieure sera celle du rectangle d’Or. 

Pour conserver le rectangle d’or à l’intérieur des murs, l’épaisseur des pignons devra varier.

document Patrice Meyer, sur l’Art du Trait

C’est ce que l’on appelle un encadrement homothétique.

Esquisse : Le rectangle d’or intérieur est conservé. Avec des murs longitudinaux de 0.35m d’épaisseur, nous aurons des pignons de 0.50/0.55m ce qui n’est pas courant dans une maison moderne, mais renforce l’isolation

Dès lors, nos pouvons envisager un plan directeur qui organiser les sous-espaces en parfaite harmonie avec l’ensemble.

Remarque

Nous avons fait d’autres essais pour rester au plus près de la forme initiale du projet. Les rectangles racine de 2 et racine de 3 ont été explorés mais les résultats ne sont pas aussi simples et aussi satisfaisants, même en utilisant le rapport 3 x 1/Phi

Annexe

La Mesure historique

La mesure se calcule en fonction de la latitude du lieu. On  peut travailler en pouce, pied et coudée

La latitude du lieu de construction sera L = 48,75° N.

L’étalon de cette maison sera de 81,63 cm, qui se décompose en :

  • Une coudée de 50,45 cm
  • Un pied de 31,18 cm

Les valeurs au centième sont impossibles à respecter sur le terrain pour des petites longueurs. Elles servent à donner une précision maximale aux grandes dimensions. Les petites longueurs utilisent le pouce.

Avec ces mesures de base, vous travaillez suivant la suite de Fibonacci. Vous pouvez donc construire la règle, ou Quine, qui correspond à votre maison, et uniquement.

Un habitat construit selon la nombre d’or est un habitat biologique au plein sens du terme.

DEMANDER L’EXPERTISE Nombre d’Or d’un bien immobilier

Une propriété au nombre d’or est unique.

Il fait de vous un propriétaire à part.

Vous vivez dans une architecture précieuse, élevée grâce aux mêmes règles que les pyramides d’Egypte ou les plus belles cathédrales gothiques d’Ile de France.

Carré magique de 5 et encadrement au rectangle d’or.
Voilà une porte qui s’ouvre sur le nombre constructeur 5, générateur du nombre d’Or
Le heurtoir vous invite à la Connaissance : « frappez et l’on vous ouvrira »

Une Maison ou une propriété construite sur les canons du nombre d’or est un bien de plus en plus recherché. Il est en consonance avec l’environnement :

le nombre d’or est La bio-architecture de référence.

Phi est le coefficient de construction ( on dit coefficient de croissance) de la nature, du vivant, accordé au lieu où un habitat est construit. C’est un principe immuable. Il est dit vital. Aujourd’hui ces critères multi-millénaires reviennent sur le devant de la scène. La France est le pays de l’architecture dorée par excellence et c’est un luxe historique caché, encore présent dans nos régions. Sachez en profiter.

La nature est mathématique, les chefs-d’oeuvre de l’art sont en consonance avec la nature.

L’harmonie résulte de la récurrence rythmique de formes semblables

3 Raisons d’explorer le nombre d’Or

1. TOURISME/ BIO-ARCHITECTURE

Vous louez des gîtes, des chambres d’hôtes, vous avez un hôtel,

Vous souhaitez vous démarquer de vos concurrents, en proposant un séjour ++ dans un lieu au nombre d’or.

Vous avez besoin d’une expertise qui mette en valeur votre bien

2. TRANSACTIONS IMMOBILIERES

Vous souhaitez acheter ou vendre un bien qui soit au nombre d’or.

3. PRESTIGE PATRIMONIAL

Vous êtes déjà propriétaire d’un bien immobilier, d’une maison de famille, d’un bâtiment, d’un manoir ou plus grand encore;

vous souhaitez savoir si tout ou partie est construit sur les canons de la « divine proportion ».

L’intérêt d’une telle démarche est de savoir si l’on vit dans un espace équilibré, harmonieux, en symbiose avec les lois de la nature, bref dans un habitat pensé « biologique » au plan architectural. Les formes et surtout les proportions conditionnent la beauté, la qualité de vie, le bien-être, canalisent l’énergie, et, pour certains édifices, l’amplifient. C’est une valorisation importante de votre bien que l’on trouve rarement dans un ensemble moderne.

« Une maison au nombre d’Or est une maison en or »

Manoir breton, sur le ria Jagu, près de Tréguier
Habitat sous Phi et 3 x 1/Phi

Il n’y a pas que l’habitat. Une armoire, un vase, une peinture, une fontaine, etc. peuvent avoir été créés en respectant les règles de la proportion dorée car ces critères furent longtemps en vigueur dans les corporations. Nous pouvons donc analyser un objet ou un meuble pour en connaître sa vraie valeur harmonique.

Comment faire ?

Prenez contact : Conservatoire du Livre Paris : cdl.dirpt@gmail.com

Demandez l’information « Expertise » . Vous recevrez le document par retour avec toutes les précisions .

Pour une étude immobilière, partant des plans, nous analysons les grandes dimensions du bien, puis les ouvertures, surfaces et volumes. Si un élément Phi transparaît, nous vous le signalons rapidement. Si le bien comporte de nombreux éléments Phi nous pouvons nous déplacer pour les relevés métrés et les photos . Au final, vous disposerez d’un livret complet sur l’architecture de votre bien, analysé géométriquement sous l’angle de la proportion dorée.

Nous ajoutons si besoin, l’implantation par rapport à la course du Soleil, aux solstices et aux équinoxes, sans oublier la structure géologique et/ou géophysique sous-jacente.

Il n’y a aucun lien avec le degré de confort. Il s’agit d’une analyse harmonique au plein sens du terme, en concordance avec le lieu, c’est-à-dire avec la latitude.

A la fin de l’étude, votre patrimoine pourra porter la plaque signalant son caractère exceptionnel.

CREER SA MAISON PHI, c’est créer un habitat biologique

du projet aux plans

Créer une maison au Nombre d’or, revient a créer un espace de résonance. Les murs sont là pour organiser le vide et filtrer les échos extérieurs, qu’ils soient phoniques ou électromagnétiques. telluriques, électrotelluriques ou géophysiques. Cette énergie ambiante peut-être néfaste, neutre, ou au contraire bénéfique.

Cet espace de résonance a des limites organisées par la course du Soleil, notre principal « luminaire » avec la Lune. Cette résonance doit tenir compte des flux telluriques du sous-sol. Les effets ne sont pas les mêmes suivant que l’on s’implante sur une surface humide ou sèche, sableuse, graniteuse, argileuse, homogène ou fracturée.

La forme et les dimensions conditionnent les flux. Le Nombre d’Or met l’humain en adéquation avec les flux extérieurs ( telluriques et cosmiques) car le corps humain est dimensionné au Nombre d’Or.

METHODOLOGIE

De plus en plus de gens cherchent à construire des maisons aux proportions du nombre d’or. C’est bon signe.

Nous avons une prise de conscience des lois d’harmonies.

Construire au nombre d’or, c’est construire en proportion d’une loi générale de la nature, pour se mettre en adéquation avec cette nature. Et l’immense qualité de la proportion dorée tient au fait que ce rapport « magique » fonctionne sur 3 modes à la fois : arithmétique, géométrique et harmonique. C’est une propriété unique qui nous relie directement au mode vibratoire ( harmonie = musique ) que nous connaissons tous sous le nom de fréquence.

Construire au nombre d’or, c’est donc construire un habitat susceptible d’être en résonance avec des éléments de l’univers organisés sur le même rythme ( pardonnez nous d’être répétitifs, mais c’est important)

Contrairement aux apparences, ce n’est pas simple. C’est très technique et le fait de fonctionner sur différents modes en même temps ne simplifie pas l’étude.

Si vous voulez construire un espace au nombre d’or, un peu de méthodologie s’impose..

AB INITIALE, la page blanche

L’idéal est de démarrer à zéro

Il est plus aisé de concevoir un projet qui n’existe pas que de modifier des plans déjà arrêtés. Les professionnels n’aiment pas modifier leurs plans, certains calculs étant à revoir, avec des délais et des coûts qui augmentent.

Conclusion : débutez ab initial , si vous pouvez.

La première étape

est de définir la forme de votre maison idéale : rectangulaire, carrée, circulaire , zome , spiralée …ou une combinaison de différentes formes intégrées au terrain etc.

En effet, on partira toujours des grandes dimensions vers les plus petites. Donc si vous avez une idée de la forme et des volumes de votre maison, avec ses dimensions maximales d’emprise au sol, on peut commencer à imaginer des esquisses.

On pensera déjà aux matériaux désirés.

Ceci oblige à prendre en compte le nombre d’étages, de pièces, cheminée ou pas, garage et dépendances, mezzanine ou pas, sous-sol ou plain pied, surface du jardin, etc tout ce que vous désirez.

Autre point important, votre terrain, son site.

Le plan cadastral est précieux, sans oublier les photos satellites désormais incontournables et une carte régionale. Avec ces documents vous êtes renseigné sur l’orientation, l’exposition aux vents ou au soleil, l’environnement général et aussi certains paramètres météorologiques locaux.

Ensuite, on vous demandera

– pour le terrain : le plan cadastral ,( ou un plan du site) pour voir comment il est orienté, si il y a des contraintes ou des servitudes (lois locales), des lignes électriques, un cours d’eau  etc.  bref  l’environnement.

Arrivés à ce stade , les éléments clefs de votre projet sont rassemblés. C’est une réflexion normale pour qui veut construire un habitat personnalisé.

ETAPE 2, des idées aux esquisses

Tout est dans les proportions, dans les dimensions, dans l’orientation, suivant que l’on veuille intégrer ou non la course des luminaires (Lune et Soleil ) et celle des constellations, les considérations géophysiques du sous-sol ( flux électrotelluriques) . C’est là où PHI intervient en principal pour le hors sol, mais pas uniquement.

C’est dans cette phase aussi que l’on s’instruit des tenants et des aboutissants du nombre d’or appliqués à l’habitat, proportion génératrice d’harmonie et d’équilibre. On se concentre sur les volumes et proportions, pas sur les mesures.

C’est une période de maturation avec souvent beaucoup de changements et de mûrissement pour aboutir à ce qui est véritablement une oeuvre personnelle.

ETAPE 3, des esquisses aux plans

Vous allez passer des esquisses aux plans pour que ces derniers soient validés par les administrations chargées de l’urbanisme, avant de rejoindre les mains des professionnels chargés de construire.

Les plans doivent presque tout prévoir, en plus d’une notice descriptive complète et totalement détaillée dans ses moindres parties.

Une maquette aide souvent à visualiser les lignes architecturales.

N’hésitez pas à nous interroger : cdl.dirpt@gmail.com


Une BERGERIE en BRETAGNE : Suivez ce nouveau projet au nombre d’or

ENTREZ À L’ECOLE DU NOMBRE D’OR. SUIVEZ CE PROJET et ECHANGEZ : cdl.dirpt@gmail.com

Historique du projet :

Un pompier breton a contacté le CDL pour finaliser un projet de bergerie à construire selon les règles Phi.

Le projet vise a réduire des dépenses d’entretien d’un grand terrain, puisque 4uatre brebis à l’année sont plus économiques qu’un contrat d’entretien avec une entreprise. Notre professionnel du feu prend soin des dépenses publiques mais aussi des futures brebis qui vont ainsi bénéficier d’un habitat harmonieux original.

Nous avons décidé de l’accompagner….à la recherche de la Toison d’Or

Voici le schéma initial du concepteur. L’idée, le germe.

Ce premier dessin de la bergerie est imaginé autour d’une porte standard du commerce, mais les proportions Phi de ce plan sont encore à mettre en place. Les mesures indiquées sont approximatives, ne pas en tenir compte.

Problématique : Tout en respectant au plus près le design, il s’agit à présent d’inclure le nombre d’or dans ce concept, directement ou en substratum. Un projet pastoral comme celui-ci va s’inscrire dans la vie de la nature, or la nature est directement structurée par le nombre d’or. Qu’il s’agisse d’une bergerie ou du Parthénon d’Athènes, les règles sont les mêmes.

A la fin, quand les proportions seront arrêtées, nous choisirons une mesure pour métrer les esquisses.

Géométrie du projet

Armé d’un logiciel fournissant une règle proportionnée au nombre d’or, notre Ami Patrick.M est parti d’instinct sur un carré comme base d’abri nocturne, en utilisant le quine fourni pour agrandir sa création.

La Bergerie a donc une forme carrée, symbole du monde physique cher à Pythagore, prolongée par un préau, soit au total une emprise au sol de proportion 1 x 1,618. Nous sommes donc partis d’un carré pour construire ( au compas il va de soit) un rectangle d’or.

Patrick utilise donc la loi de réversibilité, privilégiant le carré, lieu où les animaux passeront leurs nuits.

Loi de réversibilité

« Tout carré peut être construit avec des rectangles d’or et inversement.« 

(dessins de feu P. MEYER)

Après modification, il livre ainsi, l’esquisse suivante :

Remarquons :

  • en haut de la feuille, la règle proportionnée ou Quine
  • en vert, en bas sur le plan, le carré générateur.
  • en jaune, toujours sur le dessin du bas, le préau prolonge le carré, créant un rectangle d’or.
  • en élévation, vue de face, soit le dessin du haut, nous retrouvons le carré générateur qui contient la porte d’entrée.
  • le toit s’abaisse en arc de cercle jusqu’aux limites du rectangle Phi.
  • A nouveau, ne pas tenir compte des mesures indiquées.
  • En orange, une spirale de croissance apparaît

A propos de la forme Carrée

Au regard de la Tradition, le carré est « la première pierre » d’un édifice, d’une intention, d’une création.

Il est aussi la base du système GGS, canevas ou grille à module carré qui permet de relier et de retrouver les proportions des monuments anciens, leur orientation, leurs liens avec nos luminaires, la Lune ou le Soleil.

Le carré permet une décomposition gnomonique par croissance ou décroissance continue jusqu’à l’apparition de la spirale logarithmique (Ghyka). Dédoublé, il donne le double carré générateur du nombre d’Or, soit l’octave.

Le carré, générateur de forme et pierre angulaire, appartient aussi bien à la série statique que dynamique selon Hambidge.

La démarche de notre ami Patrick s’inspire donc d’une vieille Tradition, qui partait d’une forme statique, c’est-à-dire d’une forme utilisant des nombres entiers ou fractionnaires, pour évoluer vers une forme dont les nombres sont incommensurables.

Le carré est l’une des figures-mères des sciences anciennes. Son nombre est 4, puisqu’il a 4 côtés.

Les nombres fondamentaux, nombres-souche, font partie des 22 nombres figuratifs qui relèvent du système des 22 polygones réguliers inscriptibles dans le cercle.

Les trois figures-souches :  triangle, carré et pentagone avec leur famille de figures convexes ou étoilées (tableau de P.Meyer)
3 mères, 7 doubles, 12 simples

Parmi les trois nombres fondamentaux, 4 est le multiplicateur, 3 et 5 sont des multiplicandes ( trois pour le triangle, 5 pour le pentagone)

Les formes-figures du 3 et du 5 peuvent se considérer comme issues du 4.

Ceci est très important, car on considère que le 4 est une figure générique. D’ailleurs, le 5 ou pentagone, procède du carré et du triangle, via le nombre  d’or.

Dans un autre système de construction, dont les modules carrés forment des grilles ( le système GGS), nous avons la confirmation de cette paternité.

Le 4 est le module de base, le module de croissance par excellence. C’est lui que nous retrouvons dans tous les temples, que ce soit à Balbek, dans les pyramides égyptiennes de Giseh, à Ur, à Göbekli Tepe, dans l’implantation des mégalithes etc.

Et nous disons module de croissance volontairement, faisant ainsi le lien avec le nombre d’Or qui est le coefficient de croissance le plus courant du monde vivant .

Aujourd’hui, c’est par le carré que nous pouvons analyser les sites les plus anciens et découvrir qu’ils sont le fait d’une école géométrique commune sur la planète.

Le 4 ou carré, a donc un rôle fondateur dans la réalisation d’une idée, idée qui pourra se développer dans pratiquement toutes les formes, par la croissance ou la multiplication du carré-module-initial.

Exemple entre tous, le double carré, soit deux carrés accolés, ou rectangle de 2 sur 1, génère le nombre d’or ( par sa diagonale).

Le carré et la géométrie-grille GGS construisent aussi des spirales, formes dynamiques. Nous sommes vraiment là sur des fondamentaux.

La surface carrée, figure-souche de la Tradition, distribue des spirales mais aussi le triangle 3-4-5 appelé par la plupart des auteurs « triangle sacré égyptien » ou encore triangle de Pythagore. C’est le triangle rectangle dont les côtés sont proportionnels aux nombres 3-4-5 , le seul triangle qui forme un série arithmétique.

Fin provisoire,

La suite bientôt ……avec les nouveaux plans.

LIFE ART

LIFE ART ®

L’ART VITAL©

LA NOUVELLE ECOLE

 

 Peinture Phi, mosaïques bombées, double spirales Phi, sont des formes réceptrices et émettrices.

La bio création du XXI siècle.

P1160281

Une œuvre d’art qui concentre l’énergie ambiante, des œuvres d’art qui agissent sur la vie et utilisent l’énergie naturelle.

Un effet prouvé sur les plantes.

Une technique qui va des bijoux gaulois aux peintures très spéciales des avions furtifs.

Transposées à la création artistique, cette technique très récente crée l’ART VITAL©

ou VITAL ART©.

L’objectif de l’Art VITAL© est d’œuvrer sur le vivant, au-delà du plaisir ou de l’esthétisme de l’œuvre ; la sculpture ou le tableau agissant directement dans les espaces où ils sont placés.

Comment est-ce possible ?

Qu’est-ce que cet « ART de VIE »

Au départ, une science vieille comme le monde,

On la retrouve de manière empirique chez les Celtes, dans les bijoux de poignets ou de cheville, de ceinture et de cou, en boucles d’oreilles. Ce sont ces anneaux métalliques non fermés dont on peut en admirer une collection au Musée de St Germain en Laye. On sait depuis les années 1930 qu’ils tiennent lieu de circuits oscillants.

Une technique empirique perdue depuis plus de 1000 ans, celle de la  résonnance des influx stellaires- naturels -, que l’on sait à présent calculer depuis la découverte des ondes radio due à Mrs HERTZ et aux inventions du physicien TESLA.

Fin 19e et au début du XX s,  ces deux savants découvrent les « ondes », explorent les lois de la propagation sans fil et ouvrent toutes les portes de la communication du monde moderne.

La technique empirique, intuitive, est devenue une science.

Les formes captent l’énergie venue de l’espace, comme les antennes Tv ou radio qui reçoivent le programme des chaînes ou encore les grands radio-télescopes qui écoutent l’espace.

De la même manière, – grâce à une forme simple, un circuit oscillant – on récupère et on module l’énergie ambiante ( voir les expériences sur les plantes). Dans les années 1930, l’idée était de permettre à la cellule humaine de maintenir un niveau de fonctionnement vibratoire.

Car tout vibre dans la nature, tout n’est que rythme et fréquence, d’une œuvre de Mozart aux pulsations cardiaques, des cycles astronomiques au big bang.

Le ou les antennes inscrites dans une œuvre captent les énergies durables et renouvelables à l’infini. Leur forme et les métaux qui les composent modulent l’énergie, l’œuvre elle-même agissant en quelque sorte comme un filtre qui diffuse alentour l’énergie reçue.

Autrefois, les Grands peintres « construisaient » leurs tableaux à partir d’un canevas géométrique sous-jacent pour maîtriser les effets harmonieux.

Il y avait une intention géométrique derrière l’esthétique d’un tableau.

On sait depuis la fin du XIX siècle que les tracés géométriques induisent des champs d’énergie.

L’application de la géométrie des 22 polygones inscrits dans le cercle a donné naissance à tous les moteurs électriques de la terre (voir les livres d’électricité de l’Ecole Centrale vers 1890/1900).

N’oublions pas également que les couleurs sont des fréquences. Il n’y a pas que les couleurs qui agissent comme un filtre, il y a aussi les minéraux, et les métaux. D’où l’idée d’introduire dans certaines œuvres du métal en poudre ou des minéraux

En ART VITAL on tient compte de toutes ces règles (technique et esthétique) dans la création d’une œuvre unique.

Ce sont ces principes physiques qui sont appliqués dans l’ART VITAL© , de manière invisible.

Bien évidemment, on peut élargir le concept à un bâtiment ou une villa, un parc, un lieu de repos ou de spiritualité.

Pour toute information n’hésitez pas contacter :  cdl.dirpt@gmail.com

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circuit oscillant monté au verso d’un cadre. Les proportions ont été calculées sur la longueur d’onde de l’hydrogène, corps le plus répandu dans l’univers.

CONSTRUIRE UN LIEU SACRE

Esquisse de Jean-François SIMON, Biarritz
Membre du Club PHI

Construire un lieu sacré, c’est réserver à la beauté de l’âme un lieu ouvert sur l’Univers.

Sur le site « maisonnombredor », nous donnons les grands principes d’un habitat qui nous relie aux règles environnementales universelles.

Construire un lieu sacré, c’est créer un lieu spécifique ( petit ou grand, ouvert ou fermé) qui concentre les connaissances de la Grande Tradition, celle qui sublime l’humain.

Un lieu sacré est une arche de la Connaissance immémoriale que les peuples Anciens ont inscrit dans la pierre des temples, suivant la même école de géométrie, quelque soient les époques. Construire un lieu sacré, ouvert ou fermé, c’est vouloir se relier à l’univers et perpétuer cette connaissance intemporelle.

C’est donner vie à un lieu d’harmonie et de régénérescence.

L’Ecole du nombre d’or enseigne cette tradition immémoriale, tant dans sa partie intellectuelle que dans des réalisations pratiques

cdl.dirpt@gmail.com

L’Ecole du Nombre d’Or

APPRENDRE – FAIRE SAVOIR – DIRE – COMMUNIQUER

Il n’existait aucune « école » expliquant la proportion dorée telle qu’on la découvre dans la nature ou dans les sciences.

Les ateliers d’une journée permettent de se former.

3 niveaux : débutant – perfectionnement – master

chaque niveau fait l’objet d’une attestation , et en fin de cycle, les masters reçoivent un diplôme.

LABYRINTHES d’Europe & NOMBRE D’OR

Commission Architecture, Phi Club

L’omniprésence du nombre d’or dans la nature a bien évidemment été une source d’inspiration dans les arts.

En architecture, les différentes formes de labyrinthes ont été reproduites partout dans le monde. La plus authentique reste celle de Chartres.

Au plan géométrique, ce type de labyrinthe circulaire est un petit bijou. Il cache bien son jeu sous une apparente simplicité. Sa réalisation sur le terrain demande une belle précision pour un parfait équilibre des formes.

Ce n’est pas uniquement un beau dessin sur un pavage. On considère qu’il porte la charge du lieu ou de l’humain situé en son centre, qu’il favorise élévation, spiritualité, harmonie.

En fait un « labyrinthe » doit s’accorder à la fonction qui lui est destinée : décorative, mystique, personnelle,  méditative etc. Par exemple, dans une propriété, la mesure de base du labyrinthe peut s’accorder à la mesure des occupants. Autrefois, on ne faisait pas de « standard » et aujourd’hui encore, les dimensions d’un « labyrinthe » ( même d’agrément) sont calculées pour répondre à une résonance précise.

Un labyrinthe fonctionnel doit être accordé au lieu. La latitude du lieu donne la mesure de base mais il y a d’autres paramètres. Ses dimensions répondent à une fonction. 

Commission Architecture, Labyrinthes

Une commission est spécialement chargée de l’étude du labyrinthe de Chartres qui reste le seul d’origine sur notre sol. Une partie du labyrinthe renvoie à l’époque des mégalithiques, via les alignements astronomiques, une autre partie est du domaine des sciences modernes de la communication. Ces constatations soulèvent beaucoup d’intérêt et de nombreuses questions.

La méthodologie s’applique ensuite aux autres figures labyrinthiques encore en état.

Des comparaisons sont développées avec les autres modèles d’église connus. L’ensemble fait l’objet de mesures, de calculs et d’hypothèses très riches de sens, de nombreux contact à travers le monde.

Objectif : publication en librairie

Vous souhaitez participer à ces travaux, contactez-nous. :   cdl.dirpt@gmail.com